Garder une relation de qualité avec vos prospects, prouver votre savoir-faire, gérer efficacement votre image de marque, amener à l’action ou encore engendrer de la vente : voilà certainement les causes principales qui vous donnent l’envie de façonner une newsletter fun et qualitative. Voici les sept actions majeures à effectuer pour obtenir une newsletter attractive en 2022.
Sommaire
- 1 Première action : écrire un objet attractif
- 2 Seconde étape : peaufiner votre et vos images
- 3 Troisième action : rédaction d’un écrit idéal en quantité et en qualité
- 4 Quatrième action : débutez par l’essentiel
- 5 Cinquième étape : intégration de liens et des CTA (appel à l’action)
- 6 Sixième action : tenir compte de la vie privée des lecteurs
- 7 Septième étape afin de façonner une newsletter qualitative : amélioration des performances d’envoi
Première action : écrire un objet attractif
La conception d’une newsletter de qualité doit intégrer un objet pertinent et captivant. Ce dernier doit déclencher le désir d’effectuer un clic et d’offrir au lecteur la cause de la présence du mail. Voici ce que l’objet doit respecter :
- Être court, percutant et ne pas mentir ;
- Avoir une longueur située entre 61 et 70 caractères ;
- Rédigé en ayant en tête votre cible ;
- Cohérent, percutant et attractif ;
- Humain, unique et personnalisé ;
- Rédigé avec les renseignements essentiels en début d’objet ;
- Sans trop de ponctuation, de majuscules et de points d’exclamations ;
- Nouveau (aucun slogan lu et relu) ;
- Et enfin, il doit être mystérieux pour titiller le côté curieux des internautes.
Seconde étape : peaufiner votre et vos images
Votre lettre d’information doit être aisément et rapidement identifiée et simple à visionner. Dans ce but, il faut surtout mettre en avant votre identité visuelle : incorporez au moins votre logo tout en haut de la newsletter. Ensuite, vous pouvez incorporer des visuels dans votre cyberlettre. Néanmoins, nous vous recommandons vivement de ne pas trop le faire car votre newsletter pourrait aller dans les indésirables !
Voici les points forts majeurs de cette technique :
- Côté rapide de l’information : une simple image permet d’attirer l’œil de l’internaute.
- Performance de l’information : se servir des images possède l’avantage que l’internaute ne se perde pas dans les renseignements.
- Engendre l’émotion : en effet, les images sont un vecteur d’émotion performant. Elles permettent de dévoiler les valeurs de votre société et d’amener le désir d’acheter.
Nous vous recommandons d’être particulièrement vigilant par rapport au poids et à la dimension de vos images. Effectivement, ces dernières peuvent engendrer un effet extrêmement négatif par rapport à l’expérience utilisateur de vos destinataires. Les images présentant un poids trop conséquent mettent énormément de temps à charger, voire à s’afficher (cela étant encore plus vrai pour les supports mobiles comme les smartphones et les tablettes).
Troisième action : rédaction d’un écrit idéal en quantité et en qualité
Pour être la plus performante possible, il est nécessaire que votre newsletter soit courte, parfaitement aérée, pertinente, bien soignée, parlante pour votre public et rédigée dans un langage adapté :
- Idéale pour les professionnels ;
- Assez fun pour le public jeune ;
- Sans une utilisation d’un vocabulaire trop commercial pour les BtoC.
Le langage doit être identique à celui présent dans votre objet. La newsletter, même si elle aborde seulement l’actualité, doit essentiellement être utile à l’internaute.
Quatrième action : débutez par l’essentiel
Afin d’être performante, votre cyberletter doit être façonnée sur le modèle de la pyramide inversée. Cela signifie que votre message le plus significatif doit s’afficher en tout premier. Par la suite, les détails arrivent de façon progressive dans la newsletter.
Durant l’écriture du contenu, prenez en compte que votre internaute possède peu de temps face à lui (il réceptionne quotidiennement des tonnes de mails et pour énormément sans but majeur !). En outre, votre message ayant la plus grande importance doit par conséquent être au niveau de la ligne de flottaison. Il s’agit de la ligne virtuelle en dessous de laquelle le contenu ne s’affiche pas à l’écran.
Cinquième étape : intégration de liens et des CTA (appel à l’action)
Votre newsletter s’intègre dans une stratégie de communication et de rédaction internet globale. C’est pourquoi il est essentiel de mettre des liens en direction de votre portail web ou vos différents réseaux sociaux.
Pensez aussi à vous occuper de vos call-to-action (CTA) ; ces derniers ayant pour finalité d’amener vos destinataires à faire une action spécifique : télécharger un document, en savoir plus sur un sujet, se rendre sur votre portail web, acquérir vos produits et/ou services ou encore effectuer un partage de vos contenus.
Pour être performant, le CTA (appel à l’action) doit :
- Se démarquer du reste de votre contenu : couleur, type de bouton, animation (GIF), …
- Amener à l’action : écrit incitatif, …
- Posséder un look unique, attractif et contrasté ;
- Avoir une taille parfaitement dosée.
Conservez en tête que votre finalité est de façonner une communauté solide et de fidéliser un public. Partez à la découverte de stratégies gagnantes de votre concurrent majeur ! Servez-vous des bons mots-clés afin d’optimiser votre retour sur investissement (ROI) en vous basant sur des chiffres et des statistiques.
Sixième action : tenir compte de la vie privée des lecteurs
Pour ne pas que votre public soit victime d’une pollution visuelle, nous vous recommandons d’effectuer deux envois mensuels de newsletters demeure être un excellent compromis. Toutefois, tout est lié à votre thème et à votre cible. Le but est de transmettre une newsletter quand vous avez réellement quelque chose de pertinent à envoyer !
Il est toujours bon de rappeler au lecteur que ce dernier est concerné par ce mail car il a effectué une inscription et se retrouve par conséquent dans votre listing d’abonnés. Il arrive souvent que les internautes s’abonnent à quantité conséquente de choses et se retrouvent littéralement inondés de mails. Pensez également à positionner une procédure de désinscription à la fin de votre newsletter.
Lorsqu’on prend en compte que le pourcentage d’ouverture moyen est de 23 % en BtoB (business to business) et de 29 % en BtoC (business to consumer), il est pertinent de faire des mesures de performances et d’améliorer vos envois. Nous vous recommandons d’effectuer des tests de la pertinence et de l’efficacité de vos objets avant de transmettre vos campagnes grâce à des outils.
Faites le choix du bon timing en prenant en compte votre cible
Souvent, l’instant idéal par rapport aux envois de votre newsletter est lié à votre milieu d’activité, de votre persona ou encore des goûts de vos utilisateurs abonnés.
C’est bon : votre campagne emailing se révèle être écrite et transmise. Désormais, il suffit de vous pencher sur le pourcentage de délivrabilité et d’ouverture. En France, le taux de délivrabilité des mails est en moyenne de 95 %. Pour rappel, sachez qu’un taux d’ouverture positif est en moyenne de 26 %.
Le pourcentage de délivrabilité est lié aux taux des messages définis comme arrivés à leur destinataire. Le taux d’ouverture offre la possibilité de quantifier le niveau de performance de votre newsletter.